Les bases fondamentales de l'Iridologie de terrain
La Notion de Terrain
Le concept de terrain remonte à la période antique et s'est perpétué jusqu'à nos jours. Pour soigner, mais avant tout pour maintenir l'état de santé. La tradition s'est toujours, et en premier lieu, référée à la nature du terrain individuel. Claude Bernard, le célèbre physiologiste lyonnais déclarait dans les années 1850 : « Le microbe n'est rien, le terrain est tout »; Pasteur montre, dans une expérience sur le choléra de la poule, que l'affection microbienne est en rapport direct avec le terrain. Plus tard, Léon Vannier, éminent physiologiste rouennais, définit dans son ouvrage « La doctrine de l'homéopathie Française », l'humain, en fonction de son type et de son tempérament. Il évoque la notion de constitution d'un sujet par l'observation de sa typologie et parle dans le même ouvrage du « tempérament », permettant une approche de l'homme en fonction de ses réactions physiques, biologiques, chimiques et psychiques.
Plus récemment, les docteurs Julian et Haffe, dans un remarquable ouvrage publié en 1984 «Homéopathie et terrain », évoquent pour la première fois les termes du bio-terrain et de l'homo-bio-terrain. Ils écrivent à propos du terrain les définitions suivantes : « Selon nous le terrain peut être considéré comme un ensemble structural biologique ou/et pathologique » et «Le terrain est une modalité d'existence du vivant, il est mouvant et non figé, il est dialectique et non statique.»
Par ailleurs, Il faut savoir que chaque individu possède à la naissance une prédisposition pathologique spécifique, issue de son hérédité, dont l'état latent, aigu ou chronique, est étroitement lié à son mode de vie hygiéno-diététique et à son environnement écologique. Un mode de vie sain et une alimentation correcte font évoluer favorablement ce terrain ; dans le cas contraire, par suite d'un mode de vie malsain, alimentation excessive, toxique ou carencée, des déchets digestifs et métaboliques s'accumulent dans les humeurs et c'est l'encrassement humoro-cellulaire, père de nos maladies symptomatiques.
Face à cet encrassement humoro-cellulaire, l'organisme oriente les éliminations et ensuite les dépôts selon la nature de la toxémie et du terrain individuel.
Le terrain présente des formes évolutives
Trois formes évolutives du terrain individuel peuvent se présenter au cours de la vie.
1 -La forme latente : dans cette forme aucune manifestation symptomatique n'a lieu, aucun signe clinique ne se manifeste. Elle se rencontre chez des sujets jeunes et les personnes ayant une excellente hygiène de vie.
2 - La forme aiguë : c'est une phase d'alerte. Elle se rencontre lors des manifestations symptomatiques courantes en relation avec la nature du terrain individuel chez 80 % des patients venant consulter. La forme aiguë a lieu chez des sujets ayant une hygiène de vie très moyenne.
3 -La forme chronique : c'est une forme grave qui suit la forme aiguë. Elle s'installe progressivement, de façon insidieuse au cours des années et cela lorsque .aucune mesure hygiéno-diététique n'a été entreprise pour rééquilibrer le terrain Généralement irréversible. Cette forme doit dans la plupart des cas être l'objet de soins médicaux attentifs.
Les trois grandes phases évolutives iriennes
Au cours de nos examens sur des milliers d'iris à l'occasion de nos consultations journalières, nous avons objectivement observé, qu'il se produisait dans l'iris, au cours de la vie, trois grandes métamorphoses fondamentales. Nous avons conclu après de nombreuses observations cliniques que celles-ci étaient en relation très étroite avec les trois phases évolutives des modifications physiques et biologiques de l'organisme :
- Identification du terrain individuel : Phase d'Idendification
- Encrassement Humoro-cellulaire : Phase toxinique
- Vieillissement de l'organisme : Phase gérontoxale
Le mécanisme des trois grandes phases iriennes se développant au cours de la vie
1) La phase d'identification
Elle débute à la naissance pour se terminer vers l'âge de 25 ans. Au cours de cette période, l'iris se structure peu à peu, permettant d'entrevoir dans un premier temps vers la 15ème année des signes d'identification précoces sans toutefois que ceux-ci autorisent une vision objective.
2) La phase toxinique
Cette phase correspond à une diminution du pouvoir d'élimination des déchets métaboliques et toxiniques de l'organisme qui est étroitement lié au mode de vie hygiéno-diététique ainsi qu'à l'environnement écologique du sujet. Cette phase commence vers l'âge de 25 ans. A partir de ce moment, des taches d'aspects, de grosseurs et de couleurs différentes peuvent apparaître dans l'iris.
3) La phase gérontoxale
Elle débute en même temps que commence le processus du vieillissement physique et biologique de l'organisme. Il se forme un anneau blanchâtre encore appelé « arc cornéen », correspondant à une infiltration de la cornée dans le voisinage de la lymphe par des graisses en excès dans le sang. Cette portion de cercle commence soit dans le base, soit dans le haut puis s'étend : deux demi cercles se forment et se rejoignent ensuite peu à peu pour devenir un anneau complet.
Différents types de phases gérontoxales
- Phase gérontoxale dite « Normale »
L' inauguration des premiers signes de la phase gérontoxale intervient habituellement entre la 4ème et 5ème décennie.
Dans ce cas l'on peut dire que son apparition est « normale » et pressentir une évolution favorable du vieillissement le l'organisme.
- Phase gérontoxale dite « Prématurée »
Sa présence avant la 4ème décennie traduit l'accélération du vieillissement de l'organisme. Plus son dépistage est observé chez un sujet jeune, plus le pronostic est défavorable.
Son existence chez un sujet de moins de 25 ans, évoque un pronostic des plus alarmants.
- Phase gérontoxale dite « tardive » Lorsqu'elle survient après 55 ans, elle traduit le ralentissement du vieillissement de l'organisme et permet dans ce cas de prévoir un excellent pronostic.
Jean-Pierre LANCEL
Le concept de terrain remonte à la période antique et s'est perpétué jusqu'à nos jours. Pour soigner, mais avant tout pour maintenir l'état de santé. La tradition s'est toujours, et en premier lieu, référée à la nature du terrain individuel. Claude Bernard, le célèbre physiologiste lyonnais déclarait dans les années 1850 : « Le microbe n'est rien, le terrain est tout »; Pasteur montre, dans une expérience sur le choléra de la poule, que l'affection microbienne est en rapport direct avec le terrain. Plus tard, Léon Vannier, éminent physiologiste rouennais, définit dans son ouvrage « La doctrine de l'homéopathie Française », l'humain, en fonction de son type et de son tempérament. Il évoque la notion de constitution d'un sujet par l'observation de sa typologie et parle dans le même ouvrage du « tempérament », permettant une approche de l'homme en fonction de ses réactions physiques, biologiques, chimiques et psychiques.
Plus récemment, les docteurs Julian et Haffe, dans un remarquable ouvrage publié en 1984 «Homéopathie et terrain », évoquent pour la première fois les termes du bio-terrain et de l'homo-bio-terrain. Ils écrivent à propos du terrain les définitions suivantes : « Selon nous le terrain peut être considéré comme un ensemble structural biologique ou/et pathologique » et «Le terrain est une modalité d'existence du vivant, il est mouvant et non figé, il est dialectique et non statique.»
Par ailleurs, Il faut savoir que chaque individu possède à la naissance une prédisposition pathologique spécifique, issue de son hérédité, dont l'état latent, aigu ou chronique, est étroitement lié à son mode de vie hygiéno-diététique et à son environnement écologique. Un mode de vie sain et une alimentation correcte font évoluer favorablement ce terrain ; dans le cas contraire, par suite d'un mode de vie malsain, alimentation excessive, toxique ou carencée, des déchets digestifs et métaboliques s'accumulent dans les humeurs et c'est l'encrassement humoro-cellulaire, père de nos maladies symptomatiques.
Face à cet encrassement humoro-cellulaire, l'organisme oriente les éliminations et ensuite les dépôts selon la nature de la toxémie et du terrain individuel.
Le terrain présente des formes évolutives
Trois formes évolutives du terrain individuel peuvent se présenter au cours de la vie.
1 -La forme latente : dans cette forme aucune manifestation symptomatique n'a lieu, aucun signe clinique ne se manifeste. Elle se rencontre chez des sujets jeunes et les personnes ayant une excellente hygiène de vie.
2 - La forme aiguë : c'est une phase d'alerte. Elle se rencontre lors des manifestations symptomatiques courantes en relation avec la nature du terrain individuel chez 80 % des patients venant consulter. La forme aiguë a lieu chez des sujets ayant une hygiène de vie très moyenne.
3 -La forme chronique : c'est une forme grave qui suit la forme aiguë. Elle s'installe progressivement, de façon insidieuse au cours des années et cela lorsque .aucune mesure hygiéno-diététique n'a été entreprise pour rééquilibrer le terrain Généralement irréversible. Cette forme doit dans la plupart des cas être l'objet de soins médicaux attentifs.
Les trois grandes phases évolutives iriennes
Au cours de nos examens sur des milliers d'iris à l'occasion de nos consultations journalières, nous avons objectivement observé, qu'il se produisait dans l'iris, au cours de la vie, trois grandes métamorphoses fondamentales. Nous avons conclu après de nombreuses observations cliniques que celles-ci étaient en relation très étroite avec les trois phases évolutives des modifications physiques et biologiques de l'organisme :
- Identification du terrain individuel : Phase d'Idendification
- Encrassement Humoro-cellulaire : Phase toxinique
- Vieillissement de l'organisme : Phase gérontoxale
Le mécanisme des trois grandes phases iriennes se développant au cours de la vie
1) La phase d'identification
Elle débute à la naissance pour se terminer vers l'âge de 25 ans. Au cours de cette période, l'iris se structure peu à peu, permettant d'entrevoir dans un premier temps vers la 15ème année des signes d'identification précoces sans toutefois que ceux-ci autorisent une vision objective.
2) La phase toxinique
Cette phase correspond à une diminution du pouvoir d'élimination des déchets métaboliques et toxiniques de l'organisme qui est étroitement lié au mode de vie hygiéno-diététique ainsi qu'à l'environnement écologique du sujet. Cette phase commence vers l'âge de 25 ans. A partir de ce moment, des taches d'aspects, de grosseurs et de couleurs différentes peuvent apparaître dans l'iris.
3) La phase gérontoxale
Elle débute en même temps que commence le processus du vieillissement physique et biologique de l'organisme. Il se forme un anneau blanchâtre encore appelé « arc cornéen », correspondant à une infiltration de la cornée dans le voisinage de la lymphe par des graisses en excès dans le sang. Cette portion de cercle commence soit dans le base, soit dans le haut puis s'étend : deux demi cercles se forment et se rejoignent ensuite peu à peu pour devenir un anneau complet.
Différents types de phases gérontoxales
- Phase gérontoxale dite « Normale »
L' inauguration des premiers signes de la phase gérontoxale intervient habituellement entre la 4ème et 5ème décennie.
Dans ce cas l'on peut dire que son apparition est « normale » et pressentir une évolution favorable du vieillissement le l'organisme.
- Phase gérontoxale dite « Prématurée »
Sa présence avant la 4ème décennie traduit l'accélération du vieillissement de l'organisme. Plus son dépistage est observé chez un sujet jeune, plus le pronostic est défavorable.
Son existence chez un sujet de moins de 25 ans, évoque un pronostic des plus alarmants.
- Phase gérontoxale dite « tardive » Lorsqu'elle survient après 55 ans, elle traduit le ralentissement du vieillissement de l'organisme et permet dans ce cas de prévoir un excellent pronostic.
Jean-Pierre LANCEL